*d’après une strophe de Christine de Pisan

  1. Ewig and Forlorn Vincent ECKERT 2:54
  2. L'amour en sangles Vincent ECKERT 4:37
  3. Die Brücke der Gehangten Vincent ECKERT 4:02
  4. Metadata 666 Vincent ECKERT 4:43
  5. Le jardin du diable Vincent ECKERT 3:20
  6. Lydia Vincent ECKERT 3:57

Indémodiable (2011)

Se mêlent le Moyen Âge et notre siècle, l’amour et le mal, la condamnation et la rédemption : l’homme dans son parcours, ses tourments, mais aussi sa force, sa tendresse et sa sagesse. Indémodiable est différent des précédents albums, d’une part par son format (7 titres), mais aussi dans sa conception et son écriture. Une recherche de simplicité dans les arrangements, de fluidité musicale sans superflu, de justesse des mots, entourée de toute l’intimité requise…

Vidéo-clip : Lydia

Crédits :

  • Julien BEAULIEU : Batterie , percussions
  • Matthieu GEIGER : Basse , synthé , chœurs
  • Vincent ECKERT : Chant , guitares , synthé, harmonica
Remerciements

Depuis 10 ans, nous n’avançons pas seuls, ni pour nous seuls…
Merci à vous, familles, amis, auditeurs, lecteurs, surfeurs, mélomanes.
Merci aux professionnels ou non de la musique, programmateurs, chroniqueurs, animateurs, journalistes, institutions culturelles pour votre confiance, votre intérêt, votre curiosité, votre écoute, votre présence !

Merci à Nadia pour son soutien et son aide, Béatrice et Gilbert Beaulieu pour leur accueil. Merci à Susana pour sa patience et sa créativité, Katia pour ses regards et son aide sur le texte « Ewig & Forlorn », Myriam sur « Die brücke des gehängten »…

Merci pour leurs conseils et aide à propos de ce disque à Géraldine, Suzy, Alexandrine, Stéphanie, Anne, Gilles, Miguel, Thomas, Fred, Serge, Alexandre, les Aspir’acteurs…

…et Morgane pour sa lumière.

 

Seuls les fées, les faits et l’effet comptent.

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Presse

« De la condamnation à la rédemption, le jeune compositeur chanteur explore les tourments de l’âme, sa force et sa fragilité. Son rock se teinte de sonorités médiévales. Les riffs endiablés de Metadata 666, morceau instrumental issu d’une improvisation en répétition, épousent la délicatesse du duel voix/guitare sur Lydia. Sur le pont que dressent ces deux partitions se baladent des douceurs mi-ange mi-démon aux rythmes percutants et cordes apaisées, à l’image de L’amour en sangles ou Die Brücke der Gehängten .D’un ton céleste animé de guitares languissantes et un passage du Hollandais Volant de RichardWagner, Ewig & Forlorn, qui ouvre l’album, fait figure de solitaire »
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